Acti­vité en baisse et nouveau plan stra­té­gique pour APICIL

Photo B.Gaudillere

Philippe Barret, le direc­teur géné­ral d’APICIL, troi­sième groupe de protec­tion sociale en France (2176 colla­bo­ra­teurs), a choisi de bannir le mot « compliqué » pour quali­fier l’an­née écou­lée. Il préfère évoquer une « année exigeante, éprou­vante, mais qui a apporté aussi beau­coup de satis­fac­tions. » Dans un contexte hors norme, marqué par l’im­pact de la crise pandé­mique sur l’éco­no­mie, le Groupe APICIL a vu son chiffre d’af­faires annuel recu­ler de 10% à 2,877 milliards d’eu­ros. Un recul « limité » selon Philippe Barret, qui souligne la rési­lience du groupe lyon­nais, illus­trée notam­ment par le main­tien d’un résul­tat posi­tif à 6,5 millions d’eu­ros (contre 42,6 millions l’an passé) et un ratio de solva­bi­lité renforcé (236%, +33 points par rapport à fin 2019).

Après « Défis 2020 », le groupe de protec­tion sociale s’ap­prête à lancer un nouveau plan stra­té­gique à l’ho­ri­zon 2024, date à laquelle APICIL quit­tera Caluire pour emmé­na­ger dans un nouveau siège à la Part-Dieu. « Ce plan stra­té­gique nommé H24 s’ap­puie sur deux dyna­miques fortes : une volonté affi­chée en matière de RSE avec un enga­ge­ment fort sur l’in­clu­sion, en interne comme en externe, et des objec­tifs clairs et ambi­tieux de crois­sance rentable pour appro­cher les 4 milliards d’eu­ros de chiffre d’af­faires d’ici quatre ans », précise le groupe lyon­nais.

>>>À voir aussi : Le Jour­nal Éco de Lyon Déci­deurs avec Philippe Barret

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