Avec 4 000 collaborateurs, 12 usines (dont celle, historique, de Tarare) et 29 filiales répartis dans 100 pays, l’entreprise villeurbannaise confirme son expertise mondiale en matière de sols sportifs. Et s’affirme aujourd’hui comme l’un des partenaires officiels et réguliers des fédérations sportives internationales. Pour les JO de Tokyo, le groupe Gerflor a fourni des sols Taraflex pour les compétitions de handball et de volleyball, ainsi que des parquets Connor pour les compétitions de basketball. Ce qui représente plus de 18 000 m² de surface. Actuellement, 14 personnes sont sur place au Japon jusqu’aux deux semaines de compétition. Elles assurent la pose et la dépose des différents sols. Après la fin des JO et des Jeux Paralympiques en septembre, les sols seront réinstallés dans différents établissements scolaires d’Asie du Sud-Est.
En pole position pour Paris 2024
Avec le report d’un an des Jeux Olympiques (initialement prévus l’été 2020) et un marché très fluctuant en raison des problèmes d’approvisionnement depuis la crise sanitaire, Gerflor espère rapidement retrouver ses performances de l’année 2019. Cette année-là, le chiffre d’affaires du groupe s’était élevé à 1 milliard d’euros contre 913 millions pour l’année 2020. Sitôt les Jeux de Tokyo terminés, Gerflor ne fait pas mystère de son envie de fournir ses sols pour les JO de 2024 qui se dérouleront à Paris. Rien n’est signé. Mais la multinationale rappelle qu’elle équipe plus de 5 000 gymnases en France. Elle a aussi été fournisseur des douze Olympiades qui se sont succédé depuis 1976 à Montréal. Partenaire de nombreuses fédérations au quotidien, Gerflor n’imagine pas ne pas être partenaire des JO de Paris.