Club Employés lève 7 millions d’eu­ros

Club Employés, qui a développé une plateforme de gestion et d'accompagnement des CSE, réalise une levée de fonds de 7 millions d’euros. La start-up présente à Lyon et Paris envisage de doubler ses effectifs pour atteindre 200 collaborateurs à la fin de l'année.

Club Employés (100 colla­bo­ra­teurs, chiffres d’af­faires non commu­niqué), spécia­lisé dans la gestion et l’ac­com­pa­gne­ment des CSE à travers sa plate­forme, vient de fina­li­ser une levée de fonds de 7 millions d’eu­ros auprès de MAIF Avenir, de Bpifrance et d’in­ves­tis­seurs histo­riques. « Nous allons doubler nos effec­tifs et renfor­cer nos équipes tech­niques et commer­ciales. L’enjeu est aussi de déve­lop­per de nouvelles fonc­tion­na­li­tés sur la plate­forme pour satis­faire davan­tage les sala­riés », explique Romain Rosta­gnat, co-fonda­teur, en 2017, de Club Employés, avec Pierre-Thomas Lebat­teux. Déjà utili­sée par « près de 2 500 entre­prises pour un total de 500 000 profes­sion­nels », selon ses fonda­teurs, cette plate­forme apporte de nombreux avan­tages à desti­na­tion des sala­riés. « Dès qu’une entre­prise s’abonne chez nous, les colla­bo­ra­teurs béné­fi­cient de réduc­tions sur un cata­logue de plus de 50 000 produits et services. » De plus, la start-up accom­pagne les élus CSE avec des outils de gestion des subven­tions, des aides pour l’or­ga­ni­sa­tion d’évé­ne­ments et une assis­tance admi­nis­tra­tive et juri­dique.

« 10 000 clients et 1 million de béné­fi­ciaires d’ici 2025 »

Présent dans 10 villes en France, Club Employés souhaite accé­lé­rer son déve­lop­pe­ment afin d’ac­com­pa­gner « 10 000 clients et 1 million de béné­fi­ciaires d’ici 2025. ». Avec une crois­sance de « plus de 250% entre 2020 et 2021 », la start-up a l’am­bi­tion de multi­plier par 2,5 le chiffre d’af­faires et prévoit de s’in­ter­na­tio­na­li­ser d’ici deux ans. « Notre objec­tif est de deve­nir la start-up réfé­rente dans l’amé­lio­ra­tion de la qualité de vie au travail des sala­riés. Aujourd’­hui, nous conso­li­dons nos bases et ensuite nous nous inté­res­se­rons aux entre­prises des pays limi­trophes de la France. »

Thomas Squarta

Remonter