L’image est encore dans toutes les têtes : Nicolas Rousset au musée des Confluences qui conclut son discours, le 30 juin dernier pour les 25 ans d’Evolem, en demandant à ses frères et sœurs et à son père, Bruno Rousset, de le rejoindre sur scène. Hommage poignant, sincère et digne.
Le family office, créé en 1997 et dans lequel les bénéfices d’April ont été apportés année après année pour accompagner des projets entrepreneuriaux, a changé de dimension avec la vente du courtier grossiste en assurances en 2019 au fonds CVC, même si Evolem a gardé 10 % d’April. Avec cette vente majoritaire d’April, Evolem dispose d’une capacité totale d’investissement de 850 millions d’euros.
En prenant la présidence d’Evolem en 2020, Nicolas Rousset a fixé le cap : « L’ambition d’ici à 2030, c’est de faire grandir 100 nouvelles initiatives durables en faveur de l’entrepreneuriat, de l’emploi, de l’éducation et de l’environnement. » Depuis la création d’Evolem, 170 projets ont été accompagnés. Quatre axes sont privilégiés : être un incubateur d’ETI (présence dans 13 groupes), un accélérateur de start-up (42 participations), un facilitateur en matière d’immobilier (10 projets pour 35 000 m2 de locaux d’entreprises) et un défricheur social en matière de philanthropie (39 projets non lucratifs soutenus à travers deux fonds de dotation : Domorrow et Evolem Citoyen, mais aussi Evolem en direct pour l’insertion sociale et la lutte contre la précarité).
Dans le portefeuille : Lauralu (bâtiments industriels de stockage démontables), Acoem à Limonest (qualité de l’air, contrôle du bruit et des vibrations), Chalet du Parc de la Tête d’Or avec Good Planet (Yann Arthus-Bertrand)…
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