Family office de Jean-Michel Aulas, le nom d’Holnest est revenu régulièrement dans la presse ces derniers mois avec le feuilleton de la cession de l’OL. Copiloté au quotidien par son fidèle compagnon de route Patrick Bertrand et son fils Alexandre Aulas, Holnest compte une trentaine de participations dans des entreprises du numérique et de la tech.
Des investissements en solo (pour des tickets supérieurs à un million d’euros), mais surtout via le Club Holnest qui rassemble une vingtaine de coinvestisseurs, dont plusieurs visages lyonnais connus (Anne-Sophie Panseri, Vanessa Rousset…). « Ce club est paritaire, intergénérationnel et ses membres viennent de divers secteurs professionnels. Ce qui nous permet d’investir dans des sociétés dont nous comprenons le métier et que nous accompagnons via la désignation d’un mentor », explique Patrick Bertrand.
Concrètement, le Club investit des tickets de 150 000 à 500 000 euros dans des start-up de la tech ayant convaincu plusieurs membres. « Le Club Holnest compte 23 participations et, en règle générale, au moins 40 % des membres participent à l’investissement », détaille Alexandre Aulas. Avec la vente de l’OL aux airs de jackpot pour le président Aulas, le family office devrait prochainement être doté de nouveaux moyens financiers. « Cela va peut-être accélérer les choses, mais nous n’allons pas changer notre façon de penser », précise Alexandre Aulas.
Dans le portefeuille : Wyz Group (solutions digitales pour l’industrie), Vetbiobank (biotech vétérinaire), Unico (logiciel de gestion de déchets)…
Merci d’avoir lu cet article ! Si vous avez un peu de temps, nous aimerions avoir votre avis pour nous améliorer. Pour ce faire, vous pouvez répondre anonymement à ce questionnaire ou nous envoyer un émail à [email protected]. Merci beaucoup !