Marianne Tinland est jeune et a un parcours déjà bien rempli. Elle est diplômée d’une licence de l’Université de Northampton et d’un master de la Montpellier Business School. Elle fait d’abord ses premiers pas au sein du Groupe URW en 2016 en tant que responsable marketing digital du centre Westfield Les 4 Temps dans le quartier de la Défense à Paris.
Sans jamais quitter les centres de shopping, elle arrive au Westfield La Part Dieu en tant que directrice adjointe en 2021 et enfin depuis quelques mois elle a pris les commandes du Pôle de Commerces et de Loisirs Confluence.
« Je suis très satisfaite d’être là, le pole de commerce et loisirs ne ressemble pas du tout à un centre de shopping habituel, il est très ouvert, même son architecture est unique, précise-t-elle. Il y a une offre différente, bien plus tournée sur le partage des moments de vies. C’est vraiment intéressant de pouvoir participer au développement de ce centre. »
Des idées plein la tête
Elle se donne pour missions d’ « accompagner les commerçants qui travaillent tous les jours sur le site, d’arriver à développer toujours plus de projets pour améliorer le parcours client et développer les partenariats locaux avec notamment des synergies commerciales, offres événementielles. Je souhaite continuer à enrichir l’offre du centre (plus de 100 enseignes, 56 000 m², 26 restaurants et 7 concepts de loisirs) avec des nouveaux concepts.»
Et pour ce faire, Marianne souhaite continuer les missions de sa prédécesseure Camille Delomez, qui a quitté le groupe depuis quelques mois. « Bien sûr qu’il y aura de nouveaux projets mais on va continuer et finir ceux qui ont déjà démarré, toute une partie de l’équipe reste la même, on avance ensemble pour développer des nouveautés. »
Le futur du centre commercial sera marqué par « l’ouverture de nouveaux concepts, la création de nouveaux événements ». Pour la nouvelle directrice, le centre répond « à la fois aux besoins des usagers du quartier, et de la région. Il reste vraiment une destination privilégiée des Lyonnais. » En tout cas, pour les mois et années à venir, Marianne Tinland l’affirme : « Il y a plein de choses à imaginer ».