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Filiale du groupe lyonnais de TP Serfim piloté par la famille Mathiolon, Serfim T.I.C. (déploiement de réseaux de fibre optique, installation de systèmes de signalisation et de régulation du trafic routier…) est signataire, depuis mars dernier, des Women’s Empowerment Principles (WEPs), un réseau mondial des entreprises qui agissent pour l’égalité femmes-hommes, porté par les Nations unies.
Inspiré des normes internationales en matière de travail et de droits de l’homme, les WEPs acte « la reconnaissance du fait que les entreprises ont un intérêt et une responsabilité » sur le sujet. Concrètement, le programme propose aux entreprises signataires sept principes (gouvernance favorable à l’égalité des sexes, traitement de toutes les femmes et des hommes de manière équitable au travail…) pour promouvoir l’égalité femmes-hommes sur les lieux de travail et plus largement sur le marché du travail et dans la société.
Et, chaque année, les résultats sont publiés à des fins de transparence. « En 2023, nous avons obtenu le score WEPs de 62 %, ce qui signifie que l’entreprise est engagée de manière significative en faveur de la mixité et de l’égalité professionnelle. À titre d’exemple, il y a 20 % de femmes dans les rangs de Serfim T.I.C. contre 12 % dans l’ensemble du BTP. Et le taux de recrutement féminin était de 30 % en 2023 », détaille Aurélie Fallourd, la responsable QSE-RSE chez SERFIM T.I.C..
Et la filiale du groupe lyonnais (250 collaborateurs, 60 millions d’euros de chiffre d’affaires par an) de préciser que la signature des WEPs ne constitue « qu’une première étape » et qu’il « entend bien poursuivre les progrès déjà accomplis en la matière et concrétiser ses promesses ».
Malki Bensefia
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