L’INPI dévoile son palmarès régional 2023 des déposants de brevets. Cette étude cible ainsi les grandes entreprises, ETI, PME, les établissements de recherche, d’enseignement supérieur et les établissements de l’État. Dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, 2 132 demandes de brevet ont été comptabilisées l’année dernière, soit une hausse de 6% par rapport à 2022.
La région s’impose comme la deuxième la plus active de France sur ce point, derrière l’Île-de-France (4 776 demandes de brevets) et devant l’Occitanie (771). À l’échelle nationale, 12 562 demandes de brevet ont été publiées à l’INPI en 2023.
Seb, Arkema, Air Liquide et l’Université Lyon 1 aux côtés des leaders isérois
En Auvergne-Rhône-Alpes, le classement est dominé par le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives) de Grenoble avec 490 demandes de brevet, loin devant le groupe Michelin (159) et le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), dont la délégation régionale est installée sur le site de la Doua à Villeurbanne, avec 118 demandes de brevet.
Le groupe Seb, basé à Écully, suit avec 100 demandes, dans un classement où l’on retrouve aussi les sites lyonnais d’Arkema (54 demandes) et Air Liquide (51), ainsi que l’université Claude Bernard Lyon 1 (44).
Plus bas, derrière de nombreux acteurs isérois (Université Grenoble Alpes, Vicat, Soitec, Aledia, Aryballe Technologies, Zedel,…), l’école CPE Lyon (école supérieure de chimie, physique, électronique) compte 10 demandes, le pilier de l’hydrogène Symbio 8 demandes, et le groupe Gerflor, en vue lors des Jeux Olympiques 4 demandes.
Merci d’avoir lu cet article ! Si vous avez un peu de temps, nous aimerions avoir votre avis pour nous améliorer. Pour ce faire, vous pouvez répondre anonymement à ce questionnaire ou nous envoyer un émail à [email protected]. Merci beaucoup !