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En ce jour de sortie en librairie de leur ouvrage « Faire grandir la place du cœur dans le travail et la société » paru à la Chronique sociale, Valérie Charrière-Villien et Pierre Clocher vont à la rencontre de leurs lecteurs, ce soir, au cours d’une 1re séance de dédicace à la librairie Le Rameau d’Or dans le 6e arrondissement. Une librairie à quelques mètres du Rive Gauche, le café où ils ont commencé à évoquer ce projet de livre.
Deux parcours professionnels – la communication institutionnelle pour Valérie Charrière-Villien, la banque d’affaires en fusion-acquisition pour Pierre Clocher —, deux trajectoires de vie avec un travail sur soi pour Valérie et un chemin de foi pour Pierre et l’idée d’écrire à 4 mains un ouvrage conçu comme « une invitation à développer une intelligence de la vie, apprendre à voir, sentir de façon claire et juste où est notre place, avec le cœur ».
« La fresque de l’intention »
« J’essaie d’accompagner les équipes et les personnes à révéler leur leadership en travaillant sur la « Fresque de l’intention » que j’ai créée », explique Valérie Charrière-Villien. De son côté, Pierre Clocher, organise des rencontres, des débats, des échanges autour d’un club informel « Question de sens ». Il se positionne en homme de dialogue dans différents comités stratégiques ou comme nouveau délégué du Comité des banques Auvergne-Rhône-Alpes.
« Nos 2 intentions ont convergé en un livre, précise Pierre Clocher. C’est une histoire de rencontres et de complémentarités. C’est un livre pour apprendre à exister dans la vie et dans le travail ».
Une centaine de pages denses, une dizaine de chapitres, des photos de Pierre Minot, de nombreuses références d’auteurs ou philosophes et quelques mots qui structurent l’architecture du livre. Le désir, « grand oublié du monde du travail », alors qu’il est « le moteur de tout projet professionnel qu’il soit entrepreneurial ou salarié ». Les auteurs croient en une « convergence du désir et du pouvoir d’agir ».
La peur, « garde-fou et barrage à l’expression de toute initiative, de toute idée nouvelle ou d’une transformation personnelle qui nous rapprocherait de notre désir ». La confiance, « valeur essentielle dans la collaboration car confiance provient du verbe confier (…) La confiance est un choix, moteur de l’action et catalyseur de la relation ».
L’apport du Thierry Magnin et Bertrand Vergely
Les auteurs ont confié la préface de leur livre au père Thierry Magnin, docteur en sciences physiques et en théologie, ancien recteur de l’Université catholique de Lyon (2011-2019) et la postface au philosophe, Bertrand Vergely. « Si tout le monde y met son cœur, il n’y a plus de problème », concluent Valérie Charrière-Villien et Pierre Clocher.
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