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La course à l’Hôtel de Ville s’accélère. Au lendemain des résultats du sondage commandé par Jean-Michel Aulas, le parti Renaissance désigne Thomas Rudigoz comme chef de file pour les élections municipales de 2026.
Une décision prise par le bureau départemental et la commission nationale d’investiture. « Thomas Rudigoz incarne l’expérience, l’engagement et la proximité avec les habitants, soutient Sarah Peillon, la présidente de Renaissance Rhône. Il saura rassembler pour préparer un projet ambitieux et pragmatique pour Lyon. Avec lui, nous avons l’ambition de proposer une véritable alternative face à la majorité écologiste actuelle qui affaiblit Lyon. »
Ancien maire du 5e arrondissement, dans lequel il est encore très implanté, et député de la 1e circonscription du Rhône, Thomas Rudigoz avait été battu lors des dernières législatives par la candidate insoumise Anaïs Belouassa-Cherifi.
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Thomas Rudigoz premier soutien de Jean-Michel Aulas
Figure du parti Renaissance, Thomas Rudigoz a été l’un des premiers à soutenir l’éventuelle candidature de Jean-Michel Aulas. Il avait d’ailleurs pris rendez-vous avec l’ex-président de l’OL avant même sa déclaration d’intention dans les colonnes du Figaro.
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« Je sens que Jean-Michel Aulas a la volonté de rassembler, et non pas de rajouter une énième candidature, expliquait-il début mars pour Lyon Décideurs. Il a le souci de ne pas laisser la ville décroître. À titre personnel, je trouve que l’idée de sa candidature est très intéressante. C’est une personne qui peut fédérer et qui a un vrai attachement à Lyon. S’il faut un leader, il peut l’être. Viendra ensuite la question du projet. Et puis, il y aura aussi une discussion avec ma famille politique. »
La désignation de Thomas Rudigoz comme « chef de file » – et non comme candidat – pourrait donc être une nouvelle marche vers une candidature de Jean-Michel Aulas. L’ancien boss de l’OL a échangé lundi avec Emmanuel Macron, en marge de la décoration de la préfète Fabienne Buccio à l’Élysée, et doit aussi rencontrer Gabriel Attal ce jeudi.
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Thomas Rudigoz espère de son côté poursuivre le travail engagé avec les partenaires de Renaissance (Horizons, Modem, Parti radical) pour « construire un projet fédérateur ». « Il est temps de rassembler et d’ouvrir une nouvelle page pour écrire le renouveau lyonnais », commente-t-il.
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